« L’objectif d’Helios, c’est de remettre la responsabilité sociétale de la banque au centre pour apporter plus de transparence à l’utilisateur sur ce que la banque fait de son argent et de réaliser 100% de financements vers des secteurs de la transition écologique, donc vers les énergies renouvelables, la mobilité bas carbone, l’agriculture durable”, explique Maeva Courtois.
En effet, les banques françaises émettent 8 fois les émissions de CO 2 de la France entière juste via leurs investissements, selon divers rapports. Ainsi, elles peuvent décider d’allouer l’argent de nos comptes épargne vers une nouvelle centrale à charbon, un nouveau projet pétrolier, qui vont émettre du CO 2 par leur utilisation.
“Donc il y a vraiment un enjeu à pouvoir réfléchir et participer à ce que l’argent aille développer de nouveaux services, de nouveaux produits qui soient plus responsables et qui répondent aux enjeux du réchauffement climatique, pour pouvoir repenser nos façons de consommer et de produire”, explique Maeva Courtois. « Et ça, c’est le pari d’Hélios, pouvoir flécher l’argent, faire en sorte que chacun d’entre nous, quels que soient ses moyens, puisse participer à financer la transition écologique« .
L’épargne financière des Français représente 6 000 milliards d’euros. Depuis 2020, Hélios a orienté quelques 15 millions d’euros vers des projets de la transition écologique.
« Ça fait aujourd’hui 3 ans qu’Helios est le compte le plus vert de France, donc avec l’impact carbone le plus faible, soit 5 fois moins que les banques traditionnelles« , précise Maeva Courtois. « C’est à dire que quand je mets 1€ chez Helios, mon impact sur la planète est 5 fois plus faible que dans une banque française traditionnelle« .
« Et ça, ça parle beaucoup à une partie de la population, qui se rend compte du pouvoir de l’argent sans avoir réellement à changer ses habitudes, puisque je retrouve toute la gamme de services chez Helios, compte courant, compte joint, compte premium, mais aussi épargne, investissement et des outils pour m’aider à mettre de l’argent de côté. Donc on arrive à répondre aux demandes clients qui remettent la responsabilité de financer l’avenir sur l’accès au financier« , conclut Maeva Courtois.