La pénibilité du trajet domicile-travail est l’une des raisons qui peut nous pousser à quitter un emploi.
Vous en avez assez des embouteillages et des transports bondés, mais vous n’avez pas les fonds pour vous payer un vélo électrique ? Zenride a la solution. Un service de cofinancement de l’employeur pour acquérir un vélo, lequel servira autant pour aller au travail que pour emmener les enfants à l’école ou partir en balade le week-end et pour les vacances.
Des services aussi qui rassurent au quotidien, une assurance vol et casse, une assistance remorquage, une prise en charge des frais de déplacement si le vélo est immobilisé, un e-learning sur la sécurité routière, des révisions.
« Un service complet qui agit souvent comme un déclencheur”, explique Olivier Issaly. “Beaucoup de gens trouvent l’usage du vélo intéressant, mais ils ne savent pas vraiment par quel bout s’y prendre et nous on les accompagne”.
L’employeur y trouve aussi son avantage, pour des enjeux de marque employeur ou pour faciliter les recrutements. Et puis pour améliorer le bien-être et la santé de ses collaborateurs, ce qui a un impact direct sur la productivité dans l’entreprise.
« Les employés y trouvent également leur compte, notamment en termes de pouvoir d’achat”, explique Olivier Issaly. “Tous ceux qui prenaient la voiture et qui commencent à utiliser le vélo font des économies assez directes à la fin du mois”.
“Le vélo à assistance électrique a été une véritable révolution dans le monde du vélo. Ça remet les gens en selle, ça rassure sur la capacité à faire du vélo, à ne pas arriver transpirant au bureau, à faire des distances plus longues. Mais le problème, c’est que c’est un objet qui reste malgré tout onéreux avec un prix moyen d’environ 2 000€, soit le salaire médian. Donc, pour une majorité de français, il y a un sujet d’accessibilité”. Zenride résout le problème en amenant un schéma de location qui permet de lisser dans le temps le coût d’usage du vélo par l’aide de l’employeur”.
Une pratique encouragée ces dernières années par des investissements importants des pouvoirs publics en termes d’infrastructures. Mais pour décider de financer une infrastructure cyclable, on veut d’abord voir s’il y a des cyclistes, bien que les mêmes cyclistes attendent qu’on leur propose les infrastructures pour se décider à passer au vélo, ça rassure en termes de sécurité. C’est le serpent qui se mord la queue.
“Et nous, notre travail, c’est vraiment de développer l’usage, de créer du cycliste à travers le levier de l’employeur. Parce que plus il y a de cyclistes et plus cela incite à créer des infrastructures, et là, on rentre dans un cercle vertueux », insiste Olivier Issaly. « Pour cela, on pense que les employeurs sont un excellent levier parce qu’ils sont les instigateurs des trajets domicile-travail. C’est bien l’employeur qui nous demande de venir au bureau et, à travers cette demande, il a un pouvoir d’influence sur la manière dont on vient, et notamment celui de démultiplier l’effort de promotion du vélo en France”.