Le groupe WMH Project entend porter sa croissance économique avec, dans le même temps, une ambition forte en matière d’engagement RSE sur le champ du social, du sociétal et de l’écologique. Car à ses yeux, l’un ne va pas sans l’autre. Déjà bien engagé dans le domaine de la responsabilité sociale des entreprises à travers des certifications pour le management événementiel responsable notamment, le groupe a passé un cap supplémentaire en devenant en 2023 “entreprise à mission”, donc en inscrivant dans ses statuts une raison d’être qui est de créer, de concevoir et de produire des rencontres durables.
Celle-ci comprend un volet d’engagement sociétal avec des outils que sont un programme de mécénat de compétences appelé “Call to action” et qui permet aux collaborateurs de disposer d’une journée par an attribuée à l’accompagnement d’un projet. Le second outil est un programme d’accompagnement philanthropique, un fond de dotation baptisé “WMH for good”. Concrètement, les 430 collaborateurs se voient attribuer une enveloppe de 300 euros afin de financer le projet d’une association.
Pour la première édition cette année, quinze projets ont été présentés. Les collaborateurs avaient une semaine pour voter.
“On souhaite développer des projets très en proximité avec nos collaborateurs, donc se rapprocher le plus possible de l’endroit où WMH est présent, aujourd’hui Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille, Bruxelles, Los Angeles et d’autres implantations encore à venir”, explique Bertrand Biard. “Un impact de proximité géographique, mais aussi psychologique, voir par exemple si des ponts peuvent se créer entre nos programmes, essayer de voir si l’un génère l’autre. C’est à dire que des gens qui ont fait du Call to action découvrent des associations qu’elles ont envie de faire partager à leurs camarades pour le fonds de dotation, et inversement”.
Avec peut-être l’envie au bout du compte de s’engager et d’aider concrètement les gens dans le quotidien de l’action. « Le but étant d’essayer d’avoir des petites touches d’impact, parce que c’est aussi l’intérêt de ce genre de dispositifs, générer aussi du fonctionnement de solidarité à l’intérieur du groupe. Que les gens aient envie de le faire en équipe, qu’ils aient envie d’en parler, d’échanger, de se challenger et de construire une histoire ensemble. C’est faire en sorte que nos collaborateurs puissent se développer personnellement dans le cadre de projets collectifs”.