Pourquoi l’enseignement est vecteur d’émancipation ?

Céline Gervasoni Riedel est directrice du mécénat et des partenariats au sein de la SEPR (Société d’Enseignement Professionnel du Rhône). L’organisme propose un riche éventail de formations spécialisées, conçues pour préparer au monde professionnel dans divers secteurs comme l’artisanat, l’industrie, la communication et les services.

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Le centre de formation de la SEPR est ouvert aux étudiants de … 15 à 99 ans !  L’idée est de permettre l’accès à des enseignements très spécifiques : “Tous les métiers d’arts et les métiers d’arts rares : plumassier, sellerie,  taxidermie …” explique Céline Gervasoni Riedel.

Depuis 160 ans, la SEPR tente d’offrir un maximum de possibilités à des personnes qui ont des attentes particulières ou qui souhaitent entreprendre une reconversion.

L’organisme permet également d’accéder à des “classes mobiles” qui luttent contre la fracture numérique. Créé initialement, durant le Covid, pour soutenir les personnes sans portable ou sans ordinateur,  cette offre perdure aujourd’hui. “On a des jeunes qui sont très connectés, qui sont très réseaux sociaux et qui savent très bien faire tout ça. Mais ils savent beaucoup moins faire tout ce qui est la mise en place dans Word, Excel etc…” précise la directrice du mécénat et des partenariats.  

Pour soutenir certains de ses élèves, la SEPR a mis en place des robots de télé-présence : “Ils permettent aux jeunes en situation de rupture scolaire de suivre leur scolarité, soit à la maison, soit à l’hôpital, en situation de handicap … d’être intégrés à la classe par l’intermédiaire de ces robots”

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